Date de naissance ■ Vingt décembre, 95.
Ville de naissance ■ Ameefeld.
Taille ■ Un mètre soixante cinq et demi.
Poids ■ Cinquante deux kilos.
Couleur des yeux ■ Yeux bleus, yeux d'amoureux.
Couleur des cheveux ■ Crinière de feu.




D’aussi loin qu’elle soit capable de s’en souvenir, Elisabeth a toujours été l’une de ces filles. Celles que les autres envient, celles que l’on lorgne du coin de l’œil à la cantine, celles que l’on choisit en premier durant les cours de sport, celles dont les prénoms résonnent comme de doux murmures. Ces jolies filles semblables à des poupées – celles qui pouffent entre elles, se remaquillent dans les toilettes et paraissent intouchables du haut de leurs piédestaux. Ces filles que l’on aime à caractériser de populaires. Elsie est l’une des leurs. Pourtant, lorsque l’on y songe à deux fois, Elisabeth ne l’a jamais souhaité – quand bien même elle ai très vite compris les rouages et ficelles qui articulent toutes ces mondanités, elle n’a en aucun cas aspiré à devenir la garce que l’on idolâtre, la princesse que l’on adule ni même le rayon de soleil autour duquel on gravite. C’est ce qui explique pourquoi elle est la seconde – celle qui trône aux cotés de la reine des abeilles, ombre d’une ô toute puissante reine.

Elsie c’est une énigme – on ne sait jamais trop à quoi elle pense, elle dit oui puis non, elle sourit puis devient inexpressive, elle vous observe puis vous ignore, bavarde et se tait. De prime abord il est difficile de la comprendre voir même de la cerner, néanmoins tous s’accordent à dire que la belle est d’humeur changeante et indécise. Avec Elisabeth ce n’est jamais blanc ou noir, c’est bien souvent gris – et rares sont les points où l’avis de la belle est tranchée.
Volcanique, Elisabeth est aussi passion, impétuosité et exaltation – insolence, volupté et sensualité.

FIVE RANDOM FACTS ABOUT ELSIE: i. La croyance en l'union qu'est la famille, n'est pour elle ni plus ni moins qu'un simple mot ayant perdu de son sens. ii. Elisabeth déteste les conventions, les bonnes mœurs, les dictats, les attitudes de circonstances – et se fiche de ce que peut penser le chrétien bien pensant. iii. La sincérité est sans nul doute la valeur qui l’importe le plus ; bien qu’il lui arrive de fauter (comme tout à chacun), rare sont les fois où la jeune femme s'est permise de calomnier. Aussi coups bas, trahisons, hypocrisie et mascarade l'horripile. iv. Elsie tient depuis plusieurs années une liste dans laquelle elle énumère tous les critères qu’elle recherche chez un homme, une liste aussi déraisonnable qu’irréaliste. v. Véritable danger culinaire, elle ne s’aventure dans la cuisine que lorsque le repas est prêt à être dégusté. Malgré toute sa bonne volonté, elle mène une relation conflictuelle avec les ustensiles de cuisine et appareil électroménager, machine à café comprise.




MAI 2010 Quand j’étais petite fille, Maman dormait souvent avec moi – du moins quand elle ne tombait pas amoureuse. Elle se faufilait entre les draps, me serrait contre elle et m’obligeait à fermer  les yeux. Je ne me souviens pas, ou peut-être plus, l’avoir entendue me conter des histoires de princesses. Elle ne cessait de répéter qu’il s’agissait de « vilains mensonges qu’on raconte aux petits filles naïves ». Longtemps j’ai pensé qu’elle avait raison. Et avec le temps j’ai compris qu’elle avait été l’une de ses petites filles naïves – ces candides poupées que l’on berce d’illusions.
NOVEMBRE 2011 Maman n’avait que seize ans quand je suis née. J’étais sa petite princesse, celle autour de laquelle son existence gravitait tandis que pour le reste du monde j’étais une erreur, une tâche au tableau, un problème qu’elle aurait mieux fait d’éliminer quand il en était encore temps. Pourtant, malgré les blâmes incessants et les remarques acerbes elle n’a jamais cessé de se battre – pour moi, pour nous. Et il s’agit sans nul doute de la raison pour laquelle je suis incapable de lui en vouloir malgré toutes ses erreurs.  
AVRIL 2012 Maman s’est éprise d’un « mauvais garçon » – c’est ainsi qu’elle surnommait mon père. CME de renom, ils s’étaient rencontrés lors d’une mission ; il avait été son premier amour et, de surcroît sa première déception. Quand j’étais plus petite elle aimait à le dépeindre comme un preux chevalier et il semblait être l’exception à son dégoût pour les histoires de princesses. Souvent elle me répétait qu’il ne pouvait être à la maison à cause de son travail et que c’était pour moi qu’il combattait tous ces monstres au-delà du mur. Dans le fond je n’y ai jamais vraiment cru, je savais qu’il s’agissait de l’un de ses jolis mensonges qui enrobent d’abjectes vérités. Mon père n’était pas un héros, c’était un lâche. Un homme méprisable ayant préféré abandonner ses responsabilités comme on se débarrasse d’une fleur fanée, d’un objet encombrant.

De fins rayons s’insinuaient dans la chambre, la berçant d’une douce lumière tandis que depuis la cuisine les effluves de café venaient chatouiller ses narines. Un instant elle se laissa transporter, appréciant les parfums et les sensations qui l’entouraient, s’enivrant au contact ardent du soleil contre sa peau laiteuse. A mi-chemin entre la réalité et toujours en proie aux bras de Morphée, elle ne l’entendit pas entrer dans la chambre et ce fut son souffle chaud contre son épaule nue qui la tira de ses rêveries. Lève-toi. Un ordre, un supplice. Elle ne savait plus comment interpréter ses moindres mots, il l’avait pour lui seul, il l’obsédait, il pouvait l’enivrer et la briser l’instant d’après. Elle en était consciente, pourtant c’est avec une facilité déconcertant qu’elle se laissait aller à ce manège infernale, à cette spirale sans fin, à leur jeu malsain. Leur union interdite. Lascivement elle se retourna, drapant son corps nu dans le drap blanc, et inclina sa tête légèrement en arrière de façon à l’avoir dans son champ de vision.
uc.




Vos loisirs — Quand bien même Elsie soit fidèle au Conseil des élèves, la rouquine change de loisirs comme on change de chemise. Un matin elle se passionnera pour les arts et puis se tournera vers la cuisine pour, à la nuit tombée, se lancer dans les jeux d'argents.
Votre matière préférée — Défense.
Votre couleur préférée — Rouge.
Votre rêve — Être heureuse. Une réponse bien naïve vous dira t'on, mais à bien y réfléchir le bonheur est la seule chose à laquelle Elisabeth aspire vraiment. Comment ? Elle ne le sait pas encore et, c'est ce qui pourrait expliquer son indécision chronique.
Que faites-vous si vous tombez face à un monstre sans préparation ? — Survivre.
Comment êtes-vous à la veille de vos examens ? — Confiante.
On vous propose d'aller faire la fête, mais vous avez un projet à rendre le lendemain... Que faites-vous ? — Si Elsie se permet d'agir au gré de ses envies 99% du temps, lorsqu'il s'agit de ses études la rouquine sait se montrer sérieuse et assidue. Souvent. Ou parfois plutôt.
Vous devez travailler avec des personnes que vous n'aimez pas. Comment réagissez-vous ? — Elle accepte, travaille et fait clairement comprendre aux individus concernés son mécontentement.




1er choix de division ■ Elto.
2ème choix de division ■ Aer.
3ème choix de division ■ Sigma.
Options 1 ■ Défense.
Option 2 ■ Arts magiques.
Arme ■ Un arc, cadeau de l'un de ses "pères de substitutions".
Club 1 ■ Conseil des élèves.
Club 2 ■ Club de radio.




Pseudo : Myrcella. Mais vous pouvez m’appelez Amelle, c'est mieux. Genre plus intime krkr.
Âge : Dix-huit, je vais sur mes dix neuf. (en août. cool ma vie.)
Votre vrai âge : Celui de Monsieur Burns.
Comment avez-vous connu le forum ? : Top site, et ouais j'vous stalke dans l'ombre depuis un bout de temps.
Des avis, des suggestions ? :
Quel est votre smiley stitch préféré ? :   non. MAIS NON. J'suis en amour devant sa danse.