Date de naissance ■ 16 juillet
Ville de naissance ■ Ys
Taille ■ 182 cm (5"9 pied)
Poids ■ 75 kg
Couleur des yeux ■ Bleu-gris, aux éclats aquatiques lorsque le soleil y luit
Couleur des cheveux ■ Ébène, aux reflets bleutés, indigo, comme les plumes d'un corbeau





Description de votre caractère ici. Depuis le temps. La sagacité a fait sa route. Elle a creusé sa voie et fait de ton esprit une sagesse aguerrie. Bien assagi, tu réalises qu'avec ton impétuosité d'autrefois, tu n'aurais certainement pas fait long feu devant les monstres que tu braves désormais. Tu oses même en rire, en imaginant le petit garçon rêveur, fougueux, héroïque et idéaliste que tu étais. Mais malgré toute ta bonne volonté, il te faut avouer que tu rêves encore beaucoup, que ton esprit voit encore des horizons éparpillés aux milles et unes histoires inventées, aux milles et une anecdotes à partager. Et lorsque tu parles, lorsque ton corps se meut d'un geste fluide et rapide, on y voit encore la fougue qui t'anime et qui fait de toi un capitaine bouillonnant, explosif. C'est ta nature, tu ne peux pas la contrer, elle fait partie de toi. Avec le temps et l'expérience, tu as simplement su transformer la naïveté de cette fougue en une puissante stratégie qui t'avantage et te sort des mauvais pas, t'évitant de mourir écraser comme un vulgaire cafard.

Il y a en toi, un vent de vie frais, qui se lève à chaque jour, la volonté dans les tripes, la loyauté sur le cœur et la tactique au bord des lèvres. En te levant avec le soleil, tu chasses les ténèbres du soir et celles qui te voilent les yeux. D'un geste de la main, tu les repousses en te fixant sur tes objectifs, ton esprit allumé se frayant un chemin dans les interstices des choses afin d'en trouver les meilleures solutions, les meilleures options et bien que ta persévérance te fasse avancer jusqu'au bout du but, tu prends le temps de t'arrêter, de bifurquer des sentiers battus et d'explorer ce qui est encore inconnu, pour toi comme pour les autres. Tu possèdes la rigueur de la fraternité, celle pour laquelle tu sacrifierais ta propre existence, celle qui te fait chérir une vie comme une pierre précieuse. La plus belle des pierres précieuses. Pour toi, il n'y a rien de plus beau que de souffler, rien de plus beau que tous ceux qu'il y a autour de toi. C'est comme les étoiles. On les aime parce qu'elles scintillent, parce qu'elles sont si nombreuses, si fascinantes. On les aime toutes, on les chérit toutes.

Oui... à 33 ans, Barnabé, cela peut sembler si puéril et enfantin, mais à toi, ça te donne des ailes. Ça te donne une raison de vivre.

La sagesse, la quiétude que tu as acquises te dictent même souvent que c'est en les autres que tu puises ta propre force et avec l'opiniâtreté qui t'es connue, tu es loin de baisser les bras, même si cette force t'était volée. Tu préfères avancer encore et encore et vaillant à ne pas faillir, à ne pas flancher, tu gardes la tête hors de l'eau jusqu'au jour où tu sauras qu'il est l'heure pour toi de partir et de laisser une autre existence remplir ton devoir.

Tu as de la prestance, tu n'as pas peur des provocateurs ni des rebelles, tu les regardes du coin de l'œil en riant doucement. Toi aussi, tu es passé par là. Ça te rend nostalgique de voir des petits monstres prendre le même chemin. Alors tu gardes ton sang froid, ta voix grave résonnant dans l'air sans hausser le ton, optant pour la prise de responsabilité que chacun se doit d'endosser. Tu prends les tienne, fidèle, toujours volontaire, vaillant et solidaire.

Il faut cependant avouer que tu manques encore beaucoup d'expérience concernant ton rôle de capitaine et tout fraîchement débarqué, comme à chacun de tes débuts, tu risques de laisser bien des dégâts derrière toi. Prends barde, Barnabé, que la vie de tes élèves ne s'en trouve pas épuisé par ton rythme. Il y a encore des résidus de tes tornades d'enfant, lorsque tu déplaçais l'air avec beaucoup trop d'énergie et que les grands préféraient s'asseoir en t'observant.

33 ans, c'est pas rien, mais ouf! T'as encore tellement de chemin à faire, avec tes petits monstres, tu en braveras encore bien plus qu'autrefois. Et tâche, à présent, d'effacer tes petites rêves d'enfant, tu devrais savoir, depuis le temps, que c'est bien plus sérieux à chaque jour. On ne sait pas ce qui peut surgir, prends garde à tes arrières.





Description de la ville dans laquelle vous avez grandi, de votre famille, de l'ambiance à la maison, de votre éducation, de votre enfance et de votre adolescence, de votre rêve quand vous étiez petit... Tu avais trois rêves. Il t'en reste deux. Du haut de tes trois pommes et quelques poussières, tu as vu les nuages consteller la mer, le miroir de l'eau refléter la faune qui parsemait le triptyque citadin et déjà, tu rêvais au jour où tes pieds fouleraient milles et un pavés. Où tu plongerais tête première dans un monde d'aventures et de mystères. L'univers, regorgeant de tous les dangers, te chatouillait déjà les pieds et murmurait doucement à ton oreille : « Ouvre grand les yeux petit être, vole au-delà de l'horizon, cours sur les mers, écoute les airs. Le vois-tu? Le monde infini qui s'étend devant toi? Il t'attend. Là-bas. Viens le rejoindre. Tu pourras le parcourir de tout ton long, jusqu'à ce que même ton souffle prenne de toi ton dernier grain d'existence. Embarque dans l'aventure, c'est la vie qui t'attend. » Et aussi jeune que l'était ton esprit, tu y croyais dur comme fer, en bravant tes propres monstres imaginaires, en brandissant de victoire ton épée de plastique et pleine d'espoir. Tu glissais comme un petit pingouin sur les tapis roulants, persuadé qu'il s'agissait des véritables tobogans qui te mèneraient aux monstres à occire. Tu empruntais les ascenseurs comme s'il s'agissait des aéronefs embarquant les protecteurs d'hier et de demain. Tu en sautais de joie, trépignais d'impatience au bout de la main maternelle qui contenait l'énergie en surplus de ton petit réceptacle en chair. Ah, Barnabé... ton imagination débridée faisait déjà de toi un petit capitaine à l'esprit éveillé, explosif et déterminé. Et le soir, tes yeux aquatiques se fermaient sur les aventures du futur, rêvant aux prouesses que ton équipe et toi parviendrez à réaliser avec justesse. Tu en avais des idées, des pensées d'enfant aux histoires farfelues et aux épopées sans fin. Si tu te voyais aujourd'hui, tu serais si heureux de savoir que les rêves ne sont pas si loin que les grands osent le croire...

Toute ton enfance, tu prenais plaisir à déplacer des torrents d'air autour de toi, à secouer la galerie avec ton énergie bien vivante, bien prenante et tu ne lâchais pas le morceau. Tu bravais la peur et la tristesse comme un petit Saint-Georges et lorsque tu perdais le combat, tu refoulais ton trop plein de larmes jusqu'au soir où tu prenais la liberté de pleurer de toute ton âme. Tu avais une petite fierté subtile d'un petit héros qui osait voir la vie en couleurs. Il n'y avait personne pour t'arrêter. Les seuls véritables monstres que tu as eu la chance de voir, jusqu'à ta première dizaine d'années, ont été tes immenses figures parentales, si effrayantes, qu'elles osaient même te confectionner tes petites armes, ta forteresse et tes ennemis, t'amenant goûter et bon repos lorsque ton esprit ne suivait plus le rythme. Tu es né de rêveurs, tu as grandi tel un rêveur. UC.




Décrivez votre parcours professionnel, vos études à Dandelion et votre division, votre expérience... Qu'avez-vous fait après Dandelion ? Pourquoi être devenu professeur/CME/capitaine ? Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum.





Vos loisirs —
Votre couleur préférée —  
Votre rêve —
Que faites-vous si vous tombez face à un monstre sans préparation ? —
On vous propose d'aller faire la fête, mais vous avez encore du travail à terminer pour le lendemain... Que faites-vous ? —
Vous devez travailler avec des personnes que vous n'aimez pas. Comment réagissez-vous ? —
Un élève refuse de vous écouter. Comment réagissez-vous ?   —




Pseudo : Akekoukou (dixit Patrick), non sérieux, j'sais pas. .__.
Âge : 18 ans
Votre vrai âge : Meh... D8
Comment avez-vous connu le forum ? : Top-Site et pré-ouverture. :3
Des avis, des suggestions ? : Un avis surtout. J'ai particulièrement hâte de voir la tournure que prendra Dandelion. En mon sens, avec ce concept académique mélangeant la responsabilité quelque peu militaire de devoir veiller sur la sécurité de ce monde, c'est franchement intéressant! Je me demande encore... la magie? Dans le fond? C'est les monstres qui l'ont amenée? Non... Mais y'a des sous-entendus louches dans le livre bizarre... Il va se passer quoi maintenant? Jusqu'où iront les patrouilles? Les attaques? L'académie... est-ce qu'elle va se transformer? Se perfectionner encore plus? Le mélange magie, technologie, moderne, ancien... oui j'adhère. 8D

Ah oui... Barnabé semble peut-être trop... positif... mais rassurez-vous, il a beaucoup de défauts... j'préfère juste les jouer en rp ou les décrire dans sa rs. ;___;
Quel est votre smiley stitch préféré ? :